Blog de voyage, principalement orienté Randonnées, trails et depuis juillet 2024 bikepacking. Des Alpes aux montagnes du Colorado, en passant par le Népal, la Nouvelle Zelande, le Chili, la Tanzanie, la Corse, la Réunion, Hong Kong, le Japon ou encore l'Islande. J'espère pouvoir vous proposer encore plusieurs destinations au fil des années!!
Après un mois en Amérique du Sud, j'ai pu faire une petite ascension. Le volcan Villartica étant fermé, je me suis rabattu sur le Quetrupillàn au Chili à 2360m. L'altitude importe peu car l'ascension se fait sur la neige depuis 1200m et la vue est splendide. De plus les conditions météorologiques ont été excellentes!
Après le Japon, me voilà reparti sur les chemins en Corse. Pour découvrir le GR20 avec mon partenaire d'aventure Sébastien.
Avant le départ, je n'ai rien repéré. C'est l'aventure totale!! Sébastien a réservé tout de même les refuges sur le parcours car nous partons sans tente. Avec un sac de 20L (5kg max) contenant que le nécessaire pour survivre en montagne 5 jours! Un peu d'espèces pour s'alimenter car la CB n'est pas acceptée!!! Sauf à Vizzavone, il est donc indispensable de prendre environ 30 euros par jour pour les différents repas (les prix sont plus élevé qu'en ville!)
Avertissement : Le GR20 n'a rien avoir avec les Alpes surtout dans sa partie Nord!!! Les chemins sont très escarpés, avec des rochers qui peuvent vite devenir glissants sous la pluie. Ne vous aventurez pas sur les chemins si les conditions météos ne sont pas bonnes!!!
Nous avons eu beaucoup de chance avec la météo au cours de notre périple de 5 Jours. Heureusement d'ailleurs, car la partie nord du GR20 est très technique. Les vues panoramiques sont sublimes et il se serai dommage de ne pas en profiter totalement!!
Normalement le GR20 est découpé en 15 étapes lorsque l'on veut le faire en mode randonneur. Mais avec Seb, nous avons opté pour un triplement des étapes (et se fût bien suffisant!).
Nous démarrons le GR à Calenzana au nord de la Corse. Le début du parcours est plutôt aisé (1ère étape) mais à partir de la 2ème étapes les chemins deviennent très escarpés (il ne faut pas voir le vertige). Nous avançons régulièrement, cependant le rythme est plutôt lent en raison de l'exigence du parcours. Nous courons très peu! Mon niveau technique de Parisien ne me permet pas en cette première journée de prendre trop de vitesse dans les descentes!! Mes chevilles ne sont pas encore assez réactives (manque de proprioception). La 3ème étape ressemble à la précédente, avec pour mot d'ordre de mon côté : rester très vigilant afin d'éviter la chute. Même si la journée fût une relativement facile physiquement, je suis un peu étonné de la difficulté du parcours. Mais la beauté du parcours est indéniable!!!
Après un bon petit déjeuner, nous partons à 7h pour la 2ème journée. Le cirque de la solitude étant fermé suite à l'accident mortel de juin, nous empruntons la variante qui passe par le plus haut sommet du parcours à 2600m d'altitude. Une ascension matinale de 1200m+ dans la pierraille! Cette 4ème étape était donnée pour 8 à 10h de marche, mais nous la plions en mois de 3h (avec grande surprise).
La 5ème étape se déroule également très bien sur un parcours qui devient moins technique et nous permettant enfin de courir sans trop de risque.
Après notre pose de 12h30 et l'ingestion de 2 barres énergétiques, nous repartons pour la 6ème étape qui normalement était prévue pour être réalisée en moins de 8h pour un randonneur. A notre grande surprise, le chemin est beaucoup plus long que nos prévisions. C'est presque plat et nous courons tranquillement pensant arriver au bout de 3h! En réalité cette partie, sous la chaleur, devient interminable. Au final nous mettrons presque 5h pour arriver au refuge. Il faut reconnaitre qu'au bout de 3h30, ne voyant pas apparaitre le refuge, nous avons fortement ralenti la cadence!
La nuit fraiche en refuge dans nos sac à patate, nous permet de bien récupérer. Nous partons à 6h30 pour cette 3ème journée avec de très bonnes sensations. Le parcours reste toujours technique, nous obligeant à utiliser encore un peu les mains. Au final ces 7, 8 et 9ème étapes se déroulent sans encombre. Seulement 8h15 d'effort! Nous en profitons au maximum, en nous alimentant bien à 16h30 et à 19h00! Seul endroit du parcours ou l'on peut utiliser la CB pour se ravitailler. A l'unique épicerie du minuscule village de Vizzavone!
Suite aux différentes discussions dans les refuges avec les autres randonneurs, nous savons que la partie sud du GR20 est beaucoup moins technique. Mais les distances vont s'allonger!! Nous décidons de partir à 6h30 après une bonne nuit dans un Hotel proposant un dortoir avec douche chaude contrairement à la veille. La journée commence par une ascension de 600m pour s'échauffer avant d'entamer un long plat, nous permettant de courir à bonne allure sur des chemins devenus très facile!
Vizzavone est considéré comme la mi-parcours du GR20 séparant le Sud et le Nord
Les étapes 10, 11 et 12 du parcours ne présentent aucune difficulté particulière. Même si le paysage reste magnifique, les vues sont tout de même moins spectaculaires que dans le nord.
Dernière journée, la fatigue est un peu plus présente. Ce sera la distance totale la plus longue de notre périple, avec moins de dénivelé positif, car nous redescendons sur Conca (environ 250m d'altitude).
Nous décidons de partir plutôt que d'habitude (5h30 au lever du soleil) pour arriver à Conca et prendre la navette qui nous rapprochera de la mer. Afin de passer une soirée en dehors des sentiers!
A la sortie du refuge, nous entamons une traversée sur des crêtes avec un vent très violent! Mais le lever de soleil est splendide.
Au refuge nous avons pu glaner quelques infos sur la fin du GR20. On nous a conseillé d'emprunter l'ancien GR20 dès que possible car les vues y sont plus belles et la distance plus courte! Nous n'avons pas hésité et suivi ces précieux conseilles. Sur la 13ème étape, je pense que l'on à gagner minimum 1h30!
Pour la 14ème étape, nous avons réintégré le parcours du nouveau GR20 car l'ancien est plus Alpin. Nous préférions courir, que de mettre à nouveau les mains!
La 14 et 15ème étapes sont très roulantes. Nous avons énormément couru et à l'approche de Conca, on ne ressentait même plus la fatigue (tout est dans la tête!). Pour preuve : la dernière étape était donnée pour 5h et nous avons mis à peine 2h malgré une très forte chaleur (plus de 30°).
Bilan : 45km et 2000m+ en près de 9h45. En réalité 46km car j'ai raté 1km en stoppant mon GPS lors d'une pose!
Bilan Global : environ 190km et pratiquement 14000m+
Nous finirons notre aventure à Pinarello, pour une nuit à la belle étoile sur un catamaran! Totalement improvisée mais qui restera un très bon souvenir!
Merci à Seb pour cette aventure unique! Cette traversée restera un grand souvenir en attendant notre prochaine!
Suite à mon voyage au Japon entre Tokyo et le Mont Fuji en ce début du mois de Juillet, je vous propose une vidéo de mes 2 ascensions du Mont Fuji à 3776m :
Un mélange d'images prises de jour pour prendre des repères et de nuit pour apprécier un magnifique lever de soleil!!!!
Pour notre dernière journée, avant le retour sur Paris, nous avons décidé d'aller voir la jonction entre le Glacier des Bossons et de Taconnaz. Encore un site que je ne connaissais pas. C'est suite à une discussion avec les propriétaires du Robinson, que nous avons décidé d'y aller. Merci à eux, car le lieu est exceptionnel.
8h30 du matin : nous trottinons tranquillement en direction des Bossons, avant de rejoindre le chemin de randonnée de la jonction.
Les courbatures sont moins présentes et l'ascension se présente bien. Nous franchissons l'Arve au niveau de la gare des Bossons. Le début de l'ascension peut enfin débuter, en direction de la jonction! Comme la veille, le chemin est très boisé donc la chaleur ne nous semble pas écrasante. Lors de l'ascension nous avons des vues splendides sur le glacier des Bossons (photo ci-dessous avec seb) d'un côté
et de l'autre, le glacier de Taconnaz.
Les lacets sont bien tracés et peu techniques ce qui présage d'une belle descente! A 1400m le chemin passe à proximité du chalet du glacier des Bossons au sommet d'un télésiège. Hélas depuis plus de 20 ans le glacier est beaucoup plus haut!
A 1895m sur trouve la dernière buvette, le Chalet des pyramides. Le chemin devient alors plus raide! Les seules difficultés techniques se trouvent sur la fin de parcours. Cela reste tout de même accessible au plus grand nombre!!! Et la vue y est sublime (photos ci-dessous)
La jonction 2589m
En se retournant, la vallée de Chamonix
Un petit Selfie à 2589m sur la Jonction!
Nous attaquons la descente après un 1/4 d'heure, car je commence à avoir les doigts blancs! je suis particulièrement sensible au froid (syndrome de Raynaud).
La première partie est plutôt technique donc le rythme est lent. Mais une fois les premières difficultés passées, nous descendons à un rythme très soutenu (pour moi en tout cas). A 14h, nous voilà de retour sur Chamonix, pour dévorer ma traditionnelle glace de fin de séjour (4 boules cette année)
Bilan : 4h51 pour 25 kms et 1890 m+
Après un petit nettoyage sauvage dans une fontaine de Chamonix, nous prenons la route pour Paris dans une chaleur écrasante! De retour chez moi à 23h, je peux envisager un week-end sans sport et réfléchir à ma prochaine destination!!! Pour l'instant, la seule certitude de l'été est la découverte du GR20 (En corse) avec Seb, à partir du 25 juillet.
3ème journée : A/R entre Chamonix et le refuge de tête Rousse (3167m)
Après notre bon petit déjeuner, nous partons pour le refuge de Tête Rousse qui se situe juste avant le fameux Refuge du Goûter (3815m), dernier avant l'ascension finale du Mont-Blanc (4810m).
Avant d'entamer l'ascension vers notre objectif du jour. Nous devons rejoindre les Houches, sur environ 8kms d'un chemin faiblement vallonné. Les courbatures sont encore plus présentes que la veille, mais une fois aux Houches, je n'y pense plus!
Nous reprenons la direction du col du Mont Lachat et du nid d'aigle. Un chemin sur la gauche (bien indiqué) juste avant le magasin carrefour.
L'ascension jusqu'au col du Mont Lachat à 2017m se fait sur un chemin boisé, très agréable malgré la forte chaleur. Même si la fin se fait à découvert, la fraîcheur de l'altitude limite la sensation de chaleur. Mais protégez vous bien des coups de soleil!!!
Saint-Gervais s'engage dans une action environnementale exemplaire : la destruction de l'ancienne soufflerie militaire située au col du Mont Lachat sur le site classé du massif du Mont-Blanc. L'objectif étant la re-naturation d'un espace naturel sensible pour rendre sa splendeur à la voie royale de l'ascension du Mont-Blanc.
Une fois au col du Mont Lachat, nous sommes seulement à mi-chemin de notre ascension du jour et je me rends bien compte que je n'aurai pas assez d'eau, pour rester en zone de confort maximale afin d'atteindre le refuge de tête Rousse. Il n'y a plus un seul arbre pour nous protéger du soleil et nous nous aventureons sur le chemin des Rognes. Une découverte totale pour moi!
Une vue panoramique sur la vallée de Chamonix impressionnante
La compagnie des guides de Saint-Gervais vient de restaurer ce chemin d'accès à Tête Rousse, souvent très aériens et rocailleux!
Des pierres, une échelle et des chaînes, à découvrir!!!
Le parcours est long, surtout lorsque l'on n'a pas beaucoup d'eau. Notre rythme est régulier mais lent. Nous parvenons enfin à la jonction avec le chemin avec la seconde voie d'accès : départ de la gare du nid d'aigle. C'est la gare des alpinistes envisageant l'ascension du mont Blanc (magnifique expérience et souvenir de septembre 2014, vidéo disponible dans des articles précédents).
Vue sur le refuge de Tête Rousse (au fond)
A cette instant, je n'ai plus d'eau et il reste encore au moins 40 minutes pour atteindre le refuge et de pouvoir me ravitailler. La fin est longue mais nous atteignons enfin notre objectif du jour.
La pose est nécessaire! On s'hydrate un maximum. On mange 2 fruits et un paquet de graines, avant de descendre sur Chamonix en passant cette fois-ci par le nid d'aigle.
La descente jusqu'aux Houches est très peu technique et en suivant Seb, le rythme est plutôt régulier et soutenu. Malgré mon mollet douloureux, j'arrive à tenir la cadence. Nous atteignons les Houches sous une chaleur écrasante. A nouveau, nous effectuons un gros ravitaillement en jus de fruits, au magasin carrefour, avant d'affronter les 8 derniers kilomètres vers Chamonix.
Bilan : 7h26 pour presque 42 kms et 2900 m+, très belle journée encore!
2ème journée : Boucle entre le Plan de l'aiguille et Montenvers
Après un petit déjeuner copieux composé d'un oeuf à la coque, d'une tranche de pain 5 céréales, de 2 fruits, d'un carré de chocolat noir 85% et d'un grand verre (500ml) de boisson à la noisette, nous attaquons notre deuxième journée.
Il faut reconnaître que mon entrainement quotidien à Paris n'est pas tout à fait adapté à la montagne. Ce matin, je ressens de grosses courbatures aux quadriceps (conséquence d'1h30 de descente la veille), plus une douleur aux mollets que je traine depuis 10 jours. Mais en trottinant tranquillement, les douleurs aux quadriceps disparaissent rapidement.
Nous nous retrouvons au départ de la piste de randonnée pour le plan de l'aiguille du midi bien echauffés! (derrière le départ du téléphérique vers le pic de l'aiguille du midi).
L'ascension jusqu'au plan de l'aiguille du midi à 2317m se fait sur un chemin boisé à plus de 80% (Très agréable sous ce temps caniculaire). Sur le chemin, juste avant la première gare du téléphérique, se trouve un petit refuge à 2207m d'altitude avec une vue sur la vallée de Chamonix, le Brévent, le pic du midi, le glacier de Bossons et le Mont Blanc.
Quelques mètres plus haut sur la gauche, se trouve un chemin en Balcon qui permet de rejoindre Montenvers (1913m), juste avant d'atteindre le plan de l'aiguille du midi.
Au départ, nous envisagions de rejoindre le pic de l'aiguille du midi mais très vite nous avons compris que cela était réservé à des alpinistes expérimentés et équipés!!!
Nous avons revu nos ambitions à la baisse et nous nous sommes aventurés sur le chemin en Balcon : direction Montenvers.
Vue Panoramique sur la Vallée de Chamonix du Balcon entre le plan de l'aiguille du midi et Montenvers.
Ce passage est splendide et accessible pour tous les niveaux. Une balade en famille peut être facilement envisagée, car une fois à Montenvers, vous aurez accès à un petit train pouvant vous redescendre sur Chamonix!
Une fois à Montenvers, vous avez accès à une vue grandiose sur la mer de Glace, les Drus (3754m)...
Mais n'oubliez pas d'aller faire un tour dans la grotte sous la mer de glace, l'accès y est facile à pieds. Il y a un petit chemin sur lequel vous y trouverez l'évolution de la fonte de la mer de glace depuis 1820 et une descente finale de presque 400 marches. Pas d'inquiétude, vous pouvez remonter avec une télécabine.
Une fois, notre visite de la grotte terminée, nous sommes repartis en direction de Chamonix.
Bilan : 5h30 pour 26,8 km et 1680 m+ sous une grosse canicule!!
Début des vacances et retour à Chamonix en mode express (dans la nuit) avec mon ami réunionnais, Sébastien. Nous sommes partis de Paris à 1h30 du matin, le mardi 30 juin. 8h plus tard, nous étions dans la montagne pour notre première balade dans les environs de Chamonix.
Pour sa première venue dans le coin, je lui propose de découvrir le lac blanc à (2352 m) et une vue splendide sur la mer de glace.
Vue du chalet la Floria
Nous entamons notre ascension vers le chalet de la Floria (à 1350 m) une buvette d'altitude, sur les hauteurs de Chamonix. Avec une vue sur magnifique sur la massif du Mont-Blanc.
Nous poursuivons vers la Flégère, arrivée du Téléphérique à 1877m, point de départ pour atteindre le lac Blanc en famille!
Il y a déjà un peu de monde sur les chemins allant vers le lac Blanc (à cause du Téléphérique), mais la saison début seulement. Heureusement, car nous arrivons un peu tard sur le site.
Le Lac Blanc 2352m
Vue sur la mer de glace, les glaciers d'Argentiere et du Tour (sur la gauche) et les lacs des Chèserys.
Après une petite pause devant ce panorama magnifique! nous repartons en direction du col des Montets, pour finir notre boucle à travers la réserve naturelle des aiguilles rouges et rentrer à Chamonix.
Bilan : une balade de plus de 4H30 avec 28km et 1480m de dénivelé positif (lien Garmin)
Le soir, un peu fatigué de cette journée marathon, nous décidons de dîner au plus près de notre refuge "la montagne" (un peu à l'écart du centre). Une chance! nous y découvrons un petit restaurant très sympa, repris depuis 3 semaines par des nouveaux propriétaires (TripAdvisor par encore à jour):
Le Robinson, 309 promenade des Crémeries 74400 Chamonix-Mont-Blanc.
L'accueil y est convivial et la cuisine est "faite maison" avec des produits frais (rare à Chamonix) pour un prix très abordable de 25 euros le soir (entrée, plat, dessert).
Nous y mangerons tous les soirs!!!
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dimanche 1 mars 2015
Stage de trail à la Réunion
Premier déplacement de l'année en dehors de la métropole, à la Réunion, chez mon ami Sébastien Tholozan.
Ses chambres d'hôtes à l'Entre Deux au sud de l'ile
Vue des hauteurs de l'Entre Deux (avec vue sur Dimitile)
Le début de semaine sera réservé à la découverte de l'île. Sans négliger tout de même ma condition physique, avec quelques entrainements matinales (5h). Un stage intensif étant prévu en fin de semaine.
A voir :
Des visites inédites de cascades et des coulées de lave du Volcan encore actif!
Le jardin des parfums et des épices (à faire avec un GUIDE!)
Le Domaine du café grillé (Guide indispensable également)
Pour finir cette superbe semaine, Sébastien avait organisé un stage de Trail sous la direction de Eric Lacroix entraineur hors stade de très haut niveau! Entraîneur de Xavier Thévenard (vainqueur CCC, TDS, UTMB), Thomas Lorblanchet (vainqueur des templiers, champion du monde)....
J'ai pu y apprendre les dernières méthodes d'entrainements éprouvées scientifiquement, et adaptées au Trail.
Merci à Sébastien et Eric pour ce moment de partage et de convivialité. Au moment d'écrire ces quelques lignes, je ne suis pas encore parti. Mais je me demande déjà : quand je pourrai revenir?